Lorsque le titre de ce blog m’est apparu en vision, j’ai longuement hésité. Il me plaisait beaucoup pour sa relation avec un magnifique souvenir d’enfance mais je lui trouvais un défaut : la lumière.
Je suis bien entendu un être de lumière au sens ésotérique mais je ne me vois pas combattre pour la lumière. Tout combat est par définition perdu d’avance. Seul l’amour, la vie importe.
En outre, un autre de mes compagnons de lumière vient directement contrer l’idée de la lumière comme unique bienfaitrice de l’humanité. L’un de mes premiers tarots divinatoires vient de la version collector du jeu Bayonetta 2. Ce jeu de 22 cartes est l’un de mes préférés pour les tirages rapides à une carte. Attention, son design surprenant le rend difficile d’accès pour un débutant.
Pour les néophytes en jeu vidéo, Bayonetta est une sorcière, fille de l’ombre et de la lumière qui se bat pour protéger l’humanité des dérives de la lumière. Ce jeu rejoint assez bien ma philosophie : la lumière ne peut exister sans l’ombre. Essayer de la détruire, c’est détruire le monde.
Alors mes compagnons de lumière ne sont pas des combattants, plutôt des guides et des éclaireurs. Et leur principal travail pour l’instant, c’est de m’aider à accepter toutes mes parts d’ombre pour laisser briller ma lumière intérieure.
Ils n’y arrivent pas trop mal finalement, cette page en est la preuve 😉
Les cartes Lumière de Lise Bartoli
Pour finir sur le thème de l’ombre et la lumière, un jeu découvert au hasard de mes flâneries à la bibliothèque municipale :

Il s’agit d’un jeu uniquement psychologique. J’avais emprunté le livre dont il est tiré, traitant de l’acceptation de ses parts d’ombre ou « shadow work » en anglais. Il dit sans détour ce que les autres jeux montrent subtilement. Préparez vous à un verdict sans appel avant de l’ouvrir !
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