Interpréter ou écouter

On pourrait dire que c’est la question essentielle de toute lecture de tarot, qu’elle soit divinatoire ou psychologique.

Au début, j’étais très collée à mon livret, attentive au moindre symbole et à la moindre combinaison. Puis rapidement, les cartes ont commencé à avoir leur propre voix, parfois très éloignée de la version officielle.

Dans l’un de mes tirages d’aujourd’hui, j’en ai eu un bel exemple.

Cette carte issue du tarot akashique de Sharon Anne Klinger et Sandra Anne Taylor, deux de mes expertes en tarot préférées signifie :

  • entrée dans les études
  • un maître pour vous aider à avancer
  • écriture et/ou enseignement.

C’est une de mes cartes habituelles, ce n’est pas un hasard si elle apparait dès le début de ce blog. Mais lorsque j’ai retourné la carte, elle s’est mise à chanter. « Écris l’histoire, mais n’écris jamais la fin »

Les fans auront immédiatement reconnu le refrain de la magnifique chanson Écris l’histoire de Grégory Lemarchal. Les paroles sont plus exactement « Écris l’histoire, dans ma mémoire, mais n’écris jamais la fin ».

Pour être honnête, je n’avais jamais écouté attentivement la chanson. Fan de la première heure, je suis souvent plus émue par sa voix que par les paroles. Mais dans le contexte de réécriture d’annales akashiques, celles ci prennent un sens particulier. Écrire l’histoire, la réécrire mais la fin, le futur est en mouvement constant. En cherchant à le figer, on se couperait des miracles qu’apporte l’inattendu.

Lire un tirage de tarot, c’est la même chose : bien sûr, il y a une base, des symboles et des significations usuelles. Mais l’intuition, écouter le chant des cartes est souvent la clé pour comprendre l’étendue du message, sa singularité.

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